Eliminer instantanément le chlore de votre eau du robinet.

Newsletter "Alternative Santé" du jeudi 13 février 2015

Le chlore dans l’eau du robinet est une mesure réglementaire presque généralisée en France et ailleurs. Une mesure qui a pour but de mettre les utilisateurs à l’abri d’attaques infectieuses par des agents pathogènes éventuels, mais cela au prix d’une certaine toxicité permanente en plus d’un arrière-goût trop souvent peu engageant.

Certaines eaux du robinet en ville sont pratiquement imbuvables.

Quelques gouttes de thiosulfate de sodium (STS)

Évidemment, une méthode de déchloration simple est de laisser l’eau au soleil pendant une journée – c’est d’ailleurs ce que font les maraîchers pour ne pas griller leurs cultures à l’arrosage, en installant des bassins de stockage de l’eau. Ceux qui possèdent une piscine traitée au chlore savent très bien que celui-ci se décompose 2 à 3 fois plus vite par les journées chaudes et ensoleillées que par temps frais et couvert.

Mais quand il s’agit d’une consommation ménagère pour les boissons et la préparation des repas, il est peu commode de stocker de l’eau chlorée 24 h à l’avance dans des récipients à l’air libre, alors qu’il est très pratique d’ajouter 1 à 2 gouttes de STS dans chaque verre ou 10 à 20 gouttes dans une carafe.

Les dégâts de l'eau chlorée

Il existe une importante littérature concernant la grande dangerosité du chlore gazeux, mais peu sur sa forme dissoute dans l’eau. Le chlore ainsi que la famille chimique des halogènes tels le brome et le fluor sont des molécules hyper-oxydantes, donc très corrosives. Aussi, les ménagères savent très bien que l’action des sels halogénés comme l’eau de javel doivent être de courte durée pour ne pas « manger les tissus». Il paraît donc probable que l’ingestion récurrente de chlore peut attaquer de même les tissus organiques.

Soyons sérieux: pendant que les publicités nous rebattent les oreilles avec des produits plus antioxydants les uns que les autres, prétendant lutter contre le stress oxydatif et le vieillissement cellulaire, on nous balance des rations quotidiennes de super-oxydant. Alors, qui gagne dans ce bras de fer hyperoxydant/antioxydant ? Bien sûr, celui qui est le plus permanent… Et je penche pour l’eau.

L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) écrit ceci : « Le chlore possède une forte capacité d’oxydation qui se traduit par une déshydrogénation de l’eau des tissus. Celle-ci provoque une libération d’oxygène naissant - ce qui produit la plupart des lésions tissulaires - et d’acide chlorhydrique, ce qui en augmente l’effet.
A savoir que l’acide chlorhydrique est rapidement transformé dans l’organisme en acide hypochloreux (HOC), qui perméabilise les membranes cellulaires et réagit avec les protéines cellulaires pour former des chloramines. Or ce sont ces dernières qui détruisent la structure cellulaire, induisant des lésions corrosives et des œdèmes.

Le STS élimine aussi d'autres poisons

L'effet antitoxique du STS élimine également d'autres éléments indésirables, notamment :

·         Le cadmium

·         L'arsenic

·         Le mercure

·         Le plomb

·         Le thallium

·         Le cyanure

Malheureusement, il ne fait pas disparaître le fluor et les fluorures.

Le STS est fourni sous forme liquide dans un flacon compte-gouttes pour plus de commodité.

Comment utiliser le STS ?

La suggestion classique d'utilisation est de 1 à 3 gouttes par verre d'eau potable.

Lors dès deux ou trois premières utilisations, il peut produire un effet laxatif, en raison de l’élimination d’éléments toxiques. Après quelques jours, cet effet disparaît. Il est recommandé de commencer par des doses faibles afin d’éviter des désagréments d’élimination brutale. Une dose appropriée ne doit pas être laxative.

Si l'utilisateur a des plombages dentaires, ceux-ci sont connus pour libérer du mercure pendant des années, d'où l'effet laxatif initial, jusqu'à ce que le corps ne reçoive plus que des niveaux toxiques de valeurs tolérables libérées.

Note aux utilisateurs de MMS (lire notre article) : le principe de fonctionnement du MMS est d’être un ion hyper-oxydant (ClO--), ceci lui permettant de griller les éléments parasites les plus rebelles et les plus dangereux. Son temps de vie accroché à des globules rouges est de 8 heures, avant de se transformer en chlorure de sodium (NaCl = sel de cuisine). Le STS étant un grand antioxydant neutraliserait l’action du MMS lors d’une présence simultanée.

On ne peut pas faire quelque chose en même temps que son contraire...

Une dernière chose avant que vous ne nous le demandiez : le STS est commercialisé par la société Mineral Solutions.

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